Quand je ferme les yeux je te revois ,
Je cris à m’en briser les cordes vocales .
Sous la force de tes poings sur ma chaire , brisant mes os , mon âme .
La lame fissurant si doucement le tissu de ma peau rougissant comme au premier rendez vous sauf que cette fois ce n’ai pas à cause de tes doux mots .
Rompant la frontière entre le vivant et la mort si proche .
Ce muscle étirant la chaire de tes lèvres, rougit par le plaisir de jouer avec la limite . Avec moi .
Mon pouls s’accélérant , ou battant si lentement .
Bien qu’à certains moments j’aurais voulu un dernier coup , histoire que tous s’arrête,
que mon histoire s’arrête.
Zia Nina